L’Institut des usages de la Faculté de Droit de Montpellier promeut le Droit non écrit. L’actualité législative nationale (Proposition de loi sur les créations culinaires, Loi EGALIM, …) ou encore
celle liée à politique internationale (Pacte de politique alimentaire urbaine de Milan), régionale (Pacte régional pour une alimentation durable en Occitanie) de même que professionnelle (candidature de l’Association des bistrots et terrasses de Paris, de la baguette, pour le classement au patrimoine immatériel de l’UNESCO) confirment l’intérêt d’étudier le rôle des usages dans le
domaine agroalimentaire.
celle liée à politique internationale (Pacte de politique alimentaire urbaine de Milan), régionale (Pacte régional pour une alimentation durable en Occitanie) de même que professionnelle (candidature de l’Association des bistrots et terrasses de Paris, de la baguette, pour le classement au patrimoine immatériel de l’UNESCO) confirment l’intérêt d’étudier le rôle des usages dans le
domaine agroalimentaire.
Plus généralement, la filière agroalimentaire, définie traditionnellement comme englobant les industries de transformation des denrées agricoles végétales ou animales, présuppose une production desdites denrées et entraîne leur consommation subséquente. Partant, l’étude des usages de l’agroalimentaire, permet d’ouvrir des débats coutumiers dans une acception large.
Afin d’en cerner tous les contours ou à tout le moins de s’y risquer, une approche par phase a été retenue en conviant autour de la « table » universitaires, avocats, professionnels de
l’agroalimentaire, détenteurs et promoteurs des savoir-faire gastronomiques. production, distribution et enfin consommation seront ainsi les piliers de cette journée dédiée à la place des
usages dans le cycle de l’agroalimentaire.
l’agroalimentaire, détenteurs et promoteurs des savoir-faire gastronomiques. production, distribution et enfin consommation seront ainsi les piliers de cette journée dédiée à la place des
usages dans le cycle de l’agroalimentaire.